Estime était assise a la table des pouffsoufle puis se leva. Elle marcha marcha sans s'arrêter
puis elle tribucha sur un livre puis elle entendit des voies ce moquer d'elle.
Puis elle se releva et continua de marcher comme si rien de s'était passer.
Elle marcha et entendit encore des voies se moquer.
Et elle voulais a tout pris ce vanger.

Léna se rendait dans la grande salle pour le déjeuner. Elle n'avait pas beaucoup mangé ce mati lorsqu'elle était allé en cuisine. En effet, elle avait été interrompu par Rose Weasley et avait préféré se retirer. L'appel de son estomac se fit sentir plus tôt que d'habitude. Léna decida donc de s'y rendre un epu plus tôt. Avec un peu de chance, elle ne croiserait pas les gens qu'elle ne voulait pas voir pour le moment !!
Elle se dirigeai donc vers la table des Gryffondor et s'assit dans un endroit ou peu de monde peuplé la table. Le silence qui regnait appaisait la jeune fille qui avait bien besoin de ça pour réfléchir. Elle pensait à ce que Ruth lui avait dit, a ce que Laszlo et elle avait vu dans la pensine de Lucifer Mogg, a ce qu'il s'était passé dans les cuisines ...

Estime se releva, et vit Rose arriver elle lui demanda si tout allais bien.
Estime lui répondi : Oui tout va bien Rose.
Rose repartie alors a sa table tendis que Estime, elle réstait toute seul dans un coin.
Elle s'était ridiculisé, et elle était très en colère a cause se qui s'était moquer d'elle.
Elle voulait leurs dire a tous ce qu'elle pensait réellement.

Lorcan Scamander se faufilait parmi les élèves habillement et d'une attitude décontractée, comme à l'accoutumée.

- Pardon ! Excusez-moi !

Il réussit enfin à se frayer un chemin dans la foule (non grâce à sa voix douce qui ne portait pas vraiment loin), et s'assit à la table des Serdaigles parallèle à celle des Gryffondors.

Les cheveux blond-paille du jeune homme contrastaient avec la couleur du pull bordeaux et pelucheux qu'il portait. Il se servit un verre d'eau en renversant la moitié du pichet à côté, sous l'amusement des Serdaigle, il n'y fit pas attention et versa une poignée de sucre en poudre dedans, qu'il mélangea avec une petite cuillère. Une fois sa tambouille finie il afficha un sourire satisfait et bu d'une gorgée son verre sous les yeux ahuris de ses camarades.

- C'est très bon pour la santé... Et ça repousse les attaques de Joncheruines, annonça-t-il.

Valentine arrive enfin dans la salle, elle parait un peu fatiguée, Il semble qu'elle était dans la bibliothèque hier à étudier avec activité, Ce qui veut dire qu'elle n'a guère beaucoup mangé, elle traverse la porte ouverte de la grande salle avec des pas rassurés,toujours la main sur sa baguette magique signe qu'elle est prête pour n'importe quelle attaque,mais cette fois, en un miracle, elle retira sa main et s'assoie dans la grande salle sans crier famine,malgré qu'elle avait grande faim de loups, elle choisit de s'asseoir avec une amie qu'elle adore, Léna Taylor,, Valentine avait le regard Mélancolique, elle regardait la grande salle avec attentivité, elle regardait ,toujours concentrée, sur les élèves qui crient mais elle s'est tu , elle ne pouvait arrêter son envie de discuter avec Léna :

- J'ai très faim, et toi Léna ? bien dormi hier ?

Valentine, choquée du geste de recul de Léna et des paroles piquantes qu'elle lui a adressée, se dit que les Gryffondor ne sont pas tous gentils,elle était choquée du geste plus que les paroles, et se dit que tout le monde ne veut pas lui parler, se dégoûte même de la toucher, La jeune fille sentit ses yeux verser des larmes, les sécha et dit doucement à Léna en retirant sa main :
-Ok , comme tu veux, c'est moi la fautive, en tout cas, désolée car j'ai mis mon nez dans un sujet qui ne me regarde pas, puisque tu ne veux pas que je te touche, je suis heureuse que rien ne t'embête, j'ai juste voulu aider...

Valentine sentit une boule lui monter à la gorge, depuis son arrivée,personne ne l'a bien traité, elle se consola encore qu'elle retrouvera quelqu'un d'autre de gentil , et des Serdaigles, elle se disa qu'elle se fera bientôt des amies, puis, elle se retourna à Lorcan, essaya de toutes ses forces de reprendre son air gai et souriant et lui répondit , réussissant de sourier et de tout oublier , puis se sentit, à sa dernière question à Lorcan qu'elle a posé comme d'habitude beaucoup de questions, puisqu'elle pense aux autres autant qu'elle :

C'est gentil de t’inquiéter de mon état de santé, on me traite souvent de fou... Je ne comprends pas vraiment pourquoi.

La jeune fille, a vu de la réponse de Lorcan, qu'il était comme elle, mais plus, alors elle se réjouit que quelqu'un partage son malheur et lui répondit , émue :

- Fou ? pourquoi ? ce n'est pas du tout gentil, ça ! moi , depuis mon arrivée, je ne me souviens pas que quelqu'un m'a dis "ça va ?" ou m'a parlé au parc ou s'est discuté avec moi avec gentillesse,on devient amis ? je trouve que tu es gentil !!

Une annonce un peu particulière...

Midi pile. La cloche de la cour avait retenti comme un gong de liberté pour les élèves, qui se précipitaient tous dans la même direction. Le soleil brillait, un vent chaud traversait le château et les oiseaux commençaient à construire un nid douillet pour leurs futurs oisillons : le Printemps arrivait, ou était déjà là.

Tel un rôdeur méfiant, Sheffield s'était dissimulé derrière un mur de pierre, et observait les élèves de Poudlard qui discutaient, se chamaillaient et rigolaient. Il aurait tellement voulu retourner dans cet état d'adolescence naïve, libre et inconscient. Mais il avait appris à ne pas repenser au passé. Buvant un dernier coup au goulot de sa bouteille d'on-ne-sait-quoi, qu'il avala difficilement, il prit sa respiration.

Non, il n'était pas suicidaire. Ou presque pas. Marius agissait, il n'était pas homme à réfléchir.
La cour était vide à présent, il enleva sa capuche, découvrant un visage étrangement propre et serein qui contrastait avec les récents évènements. Bien rasé, coiffé il était presque beau. Presque, parce qu'il possédait toujours son expression si singulière d'homme-qui-va-faire-une-chose-atroce.

Dans le hall, quelques têtes se retournèrent sur son passage, puis des chuchotements effrayés/étonnés résonnèrent comme un pet dans un ascenseur moldu. C'était tellement simple pour lui de pénétrer dans ce château...
Les bras croisés, son épaule collée contre l'embrasure de la grande porte, il fixait à présent la jeune femme en face de lui, au fond de la pièce, avec ce sourire profondément malsain, presque moqueur.

Mais pourquoi était-il donc là ? Prêt à se faire fusiller de sorts...

Il attendait que l'effet "rumeurs" se répandent. Ce ne fut pas très long, tout le monde le regardait, des élèves tremblaient, d'autres étaient déjà cachés sous leur table, croyant à une nouvelle attaque.

Il aurait très bien pu anéantir l'école toute entière. Mais ce n'était pas son but.

- Coucou.

Sa voix monstrueusement angoissante résonna dans la Grande Salle. Son sourire s'accentua. Il était seul face contre tous. Un Serpentard cracha son pudding dans la tête de son voisin.

- J'ai pas de baguette. Il commença à s'avancer dans l'allée du milieu, en montrant ses mains comme pour montrer pattes blanches. Seras-tu assez lâche pour te servir de la tienne ?

Sheffield regardait uniquement Marina, avec des yeux cette fois-ci brillants et mesquins. Avec des gestes gracieux, presque naturels, il se retrouvait debout sur la table des professeurs, face aux élèves cette fois-ci. Cette table où il avait autrefois mangé, sa place n'était toujours pas occupée, il en était ravi.

- Les enfants, aujourd'hui je vais vous enseigner quelques petites choses sur le monde des adultes.

D'un coup de pied théâtral, il shoota l'assiette d'Estelle d'Armentary.

- Ravi de te revoir jolie rousse, j'espère que tu n'as pas oublié le jour où je t'ai sauvé la vie. Et merci encore pour la pierre, c'était adorable de ta part.

Clin d'oeil malsain, Marius reprit, toujours avec une attitude qui ne lui ressemblait pas, lui qui était d'habitude si distant et froid avec les gens...

- Comme vous le savez certainement, il n'y a pas si longtemps que ça, j'ai perdu un ami. Le seul être qui me rattachait à la raison, en fait.

Regard en direction de la table des Serpentards. Un grand garçon bien bâti, une rouquine frêle, une jolie demoiselle aux cheveux rouges, un autre gars bien bâti, ah. Nous y voilà, la Von Gotha était présente, pour son plus grand plaisir. Autre clin d'oeil, plus amical cette fois.

- Je tiens à préciser que je ne suis pas sous Veritaserum.

Tout le monde devait trépigner d'impatience... Sheffield n'était pas là par hasard, il n'était pas non plus devenu fou... Seulement un peu plus dérangé que d'habitude.

- J'ai tué Lucifer. Je l'ai tué de ma propre baguette.

Il sortit sa bouteille de l'intérieur de son manteau, et but une longue gorgée, comme pour essayer d'oublier instantanément ce qu'il venait d'annoncer.

- Marina, ma chère Marina, votre dévouée directrice, celle sur qui vous pensez devoir prendre exemple, n'est pas celle que vous croyez être.

Coup d'oeil derrière son épaule, re-sourire malsain sur son visage.

- Comment pensez-vous qu'un Mangemort puisse enseigner à Poudlard... Une idée ?

Silence pesant, raclements de gorges.

- Hé bien, je vous la donne en mille. Votre professeur de Potions avait couché avec la directrice, bien évidemment.

Regards inquiets des élèves, où voulait-il en venir ? Et combien de fois la prof avait-elle fricoté avec Lucifer Mogg, et dans quels sous-vêtements ?

- Oh bien sûr, je n'ai pas fait le déplacement juste pour vous annoncer ça, enfin, pas totalement.

Marius se baissa, attrapa un grain de raisin qu'il fourra dans sa bouche et se releva immédiatement.

- Je viens juste vous annoncer que tous ceux qui voudront rejoindre notre légion devront le faire dès maintenant. Les choses vont changer, nous vous le promettons. Oui je parle aussi au nom de mes copains.
Les moldus et sorciers illégitimes devront se plier devant nous, et s’exiler à jamais de notre monde. Qui prend vos emplois ? Qui détruis notre économie ? Ce sont eux, les gens à abattre.

Pause. Le discours faisait effet, et Marius avait repris son très connu ton grave et impérial. Il jetait des coups d'oeil à la table des Serpentards, pour toucher les enfants d'anciens Mangemorts.

- Si vous voulez vous battre pour la liberté, notre liberté... Vous n'aurez qu'à demander. N'aillez pas peur, nous sommes bien plus nombreux que vous ne le pensez à partager nos idéologies.

Brusquement, il sauta de la table, et se retourna face aux adultes en reprenant son air de trublion.

- Quelque chose à rajouter ? lança-t-il en se cabrant en avant, comme si on l'applaudissait et qu'il saluait l'ovation qu'il méritait pour avoir osé jouer les troubles-fêtes seul.