Ethan Alwin Campbell

♣ Carte d'identité ♣ • Âge : 28 ans • Descendance : Sang-mêlé • Patronus : Un serpent de mer • Baguette magique : 34,5 cm en bois de rose et plume de phénix • Orientation sexuelle : Bisexuel • Situation matrimoniale : Célibataire • Profession : Co-directeur du bureau des relations internationales du Ministère de la Magie • Qualités : Distingué, ambitieux, malin, loyal. • Défauts : Sournois, froid, hypocrite. • Particularités : Pupilles verticales, menteur pathologique • Avatar : Tom Hiddleston ♥ • Personnage inventé ♣ Vos papiers s'il vous plaît ♣ Physique & Caractère : Il me semble que les gens me prennent encore pour un adolescent à peine sorti du lycée. Un peu moins quand je laisse pousser ma barbe pour me donner un effet mal rasé. Est-ce à cause de mon sourire enfantin, dévoilant de ma bouche aux fines lèvres deux rangées de petites dents blanches ? Ou à ma coquetterie apparente ? Il est vrai que j’aime modifier mon apparence. Le changement opère surtout au niveau de mes cheveux, tantôt ébène, lisses et soigneusement peignés, tantôt châtains, bouclés et dans un désordre néanmoins maîtrisé. Pas dans mon style de vêtements, cependant : je n’ai pas l’habitude de suivre les dernières modes, qu’elles soient d’origines moldues ou sorcières ; je préfère de loin le style communément appelé « classy », mais un peu vintage anglais, quand je ne porte pas de confortables t-shirts larges, ce que je réserve à mon chez-moi douillet, un studio chic situé au cœur de l’atmosphère cosmopolite de Londres, à mi-chemin entre les plus grands bâtiments administratifs du Royaume-Uni sorcier et un des plus importants quartiers commerciaux de l'Angleterre moldue. J’aime mon corps mince et un peu trop grand, mes fossettes qui se creusent à la moindre esquisse de sourire, mes pommettes un peu rosées sur mon visage au teint pâle qui se renforcent au plus petit pincement de lèvres, mon aspect malicieux. Cependant, mon front qui se plisse en une multitude de rides, surtout lorsque je suis soucieux, ajoute à l'expressivité traître de mon visage. Mes sourcils, aussi, s’inclinent trop vers mes tempes, ce qui me donne un air triste, même si cela semble s’ajouter à mon charme. De plus, mon nez plonge un peu exagérément, selon moi, et mes yeux sont constamment cernés, notamment à cause de la surcharge de travail que m’impose souvent mon emploi. On m’a tout de même souvent dit que j’étais mignon. Si je le nie systématiquement, ce n’est pas par fausse modestie, non. Ni d’ailleurs par modestie tout court. J’ai simplement appris à regarder le monde avec mes yeux bleu glace aux pupilles étranges, fermés sur les différentes possibilités qui m’entourent, ne prenant pas le temps d’évaluer l’entrecroisement des chemins de la vie des diverses personnes posant un pied sur le mien. Oh, bien sûr, je pourrais m’attacher à quelqu’un plus que d’ordinaire. Mais pourquoi ? A quoi me servirait une existence dans laquelle je ne serais pas libre ? Je veux pouvoir vivre indépendamment des autres, sans me soucier de personne ; je doute de toute façon que quelqu’un daigne éprouver le contraire pour moi. N’impliquer nul autre que moi dans mes choix. Ainsi, la froideur est de mise avec tout le monde, au premier abord en tout cas. Être distingué s'impose tout de même, ce qui me donne l'air d'être quelqu'un d'inatteignable. Les rares personnes qui ont réussi à outrepasser ce trait de caractère dérangeant, qui constitue en soi une barrière infranchissable pour beaucoup, ont rapidement, par la suite, mis à jour les tréfonds de mes pensées. Cependant, et heureusement pour moi, ces personnes, envers qui je voue une loyauté sans faille, contrairement aux autres, se comptent sur les doigts d’une main. Pour terminer, beaucoup ont choisi de vivre sans s’encombrer des faux-semblants. Pas moi. En effet, mon but n’est pas de me dévoiler au premier venu ; je n’imagine même pas les conséquences que cela pourrait avoir dans mon entourage, au Ministère notamment. J’ai travaillé dur pour parvenir à un des postes les plus élevés que propose l’institution à un âge aussi jeune, en ayant recours à des capacités d’analyses et d’esprit aiguës, à la si redoutable hypocrisie et, à défaut, à la sournoiserie, qui ne me gêne nullement tant que je ne m’empêtre pas dans celle des autres. Je ne compte néanmoins pas en rester là, et je vise toujours un poste plus haut, qui serait enfin à la hauteur de mes ambitions. ♣ Histoire & Test RPG (sujet 3) ♣ « Ethan, mon chéri, réveille-toi ! Il ne faudrait pas que tu loupes l’heure du courrier, aujourd’hui ! » La voix enjouée aux accents septentrionaux de ma mère me réveilla subitement. Les yeux bouffis de sommeil et ébloui par le soleil, je marmonnai quelque supplication pour qu’elle referme les volets qu’elle avait remontés d’un coup de baguette : hier soir, nous avions invités un collègue de mon père, ainsi que sa famille. Ils s’étaient attardés plus que prévu. « Fils, dans le milieu professionnel, tu n’as pas le droit à l’erreur. N’essaie pas de te faire des amis inutiles ; si tu noues les bonnes relations, l’ascension sera plus rapide et moins fastidieuse », avait-il répondu d’un ton détaché quand j’ai fait part à mon père de son mépris habituel pour cette famille qui avait passé la soirée et une bonne partie de la nuit dans notre domicile. Toujours, des leçons. Avec lui, même la question la plus anodine se transforme en de longues heures de cours sur la façon dont se comporter avec les sorciers issus de différentes classes sociales, sur l’actualité des mondes moldu et magique, ou encore sur les sujets habituellement abordés au collège tels qu’une potion particulièrement complexe pour des élèves de notre âge, une plante ou un animal encore méconnu ou un enchantement difficile à réaliser. Heureusement, ma mère est souvent là pour rappeler à son mari que sa place n’est pas celle de tuteur et qu’il doit juste se contenter de m’aimer. Mes parents se sont rencontrés il y a 20 ans de cela. A 19 ans, fraîchement sortie de Durmstrang, Svenja Laufeyson avait fui le climat rude de l’Europe du Nord, d’où elle est originaire, et prit une année sabbatique en France tout d’abord, puis au Royaume-Uni. Devant naturellement subvenir à ses besoins et ne parlant pas correctement l’anglais, elle avait été embauchée comme préposée au soin des hiboux, un travail qui ne nécessitait aucune aptitude particulière en langues, mais extrêmement insultant pour une sorcière aux origines aussi nobles que ma mère. En effet, elle (et donc moi avec) est une descendante directe du célèbre Loki, la créature forgée à partir d’un morceau d’âme renfermé dans le corps de l’empereur Kvasir. Un heureux hasard fit que mon père, William Campbell, un sorcier très cultivé d’ascendance commune, travaillant au Ministère, dans le Département de la Justice Magique, dût, quelques semaines plus tard, envoyer un courrier confidentiel, à l’attention du président du Magenmagot. Il se rendit donc aux volières, et y croisa le regard de cette scandinave blonde aux yeux polaires et au regard tout aussi froid. « On est tombés amoureux. Will m’a sortie de cette volière puante dès le lendemain, et un an plus tard, nous étions mariés. Je parlais enfin l’anglais à un niveau assez flatteur pour une étrangère et suis entrée comme guérisseuse des maladies psychiques à Sainte Mangouste. Trois ans plus tard, un joli petit Ethan fit son apparition dans notre vie ! » aime me répéter ma mère. J’admire son visage, qui s’illumine quand elle me parle de cette période de sa vie. Ses pupilles verticales sont alors remplies d’étoiles et je me rappelle que malgré nos différences, être heureux n’est pas si difficile. « - Alwin, hur många gånger jag sagt dig?! Tiden har till stor del gått och idag är inte en dag som alla andra! [Alwin, combien de fois t’ai-je dit de te lever? L’heure est largement passée et aujourd’hui n’est pas un jour comme les autres !] - Ja, ja, mamma…Vänligen vänta lite… [Oui, oui, maman… Attends encore un peu…] - Inte. Få upp nu. [Non. Lève toi maintenant.] - J’arrive… » J’émergeai doucement du sommeil et roulai sur le ventre. Quand ma mère m’appelle par mon prénom scandinave, qui, entre nous, signifie « l’ami du noble », je sais que ça devient sérieux. Surtout quand elle se met à hurler en suédois comme elle vient de le faire. Pour éviter de retomber dans le sommeil si profond qui me caractérise, je me mis à penser à ma journée à venir. Ma mère venait de dire qu’elle était spéciale. Qu’avais-je donc oublié de si important ? Un hululement vint jusqu’à la fenêtre maintenant ouverte de ma chambre. Je me tournai nonchalamment vers l’horloge comtoise non loin de mon dressing. Oh non. Les BUSE. « Suis-je donc complètement attardé ?! » fut la seule idée qui osa s’aventurer dans mon cerveau de pieuvre atrophié alors que je me passai la tête sous l’eau, jetai les premiers vêtements que je daignai trouver sur moi et aplatis mes cheveux un peu trop longs pour moi. Je descendis les escaliers en toute hâte tout en boutonnant ma chemise et me trouvai face à mon père, la mine sévère. Oh non. « Tu tombes bien, Ethan. J’allais monter te chercher. Comme tu dois t’y attendre, nous avons reçu tes résultats des BUSE. Va t’asseoir à côté de ta mère. » Ma gorge se serra quand l’affreuse bile, résultat du nœud qui venait de sceller mon ventre, me frôla le palais. Il m’arrive toujours de paniquer lors des résultats des examens de mes années précédentes, mais jamais à ce point. « Ressaisis-toi, Ethan » me murmurai-je à moi-même alors que je prenais nerveusement place à côté de ma mère, qui me regardait d’un air las. Mon père, l’œil sombre, me lança la lettre décachetée où se trouvait probablement mon arrêt de mort. Je l’ouvris, échouant à arrêter le tremblement continu de mes mains. Ma respiration s’accentua jusqu’à se couper quand je dépliai la lettre et la lus. « A haute voix, s’il te plaît. » me pria mon père. Ainsi soit-il. « Ethan Alwin Campbell a obtenu : Arithmancie : Optimal ( O ) Astronomie : Effort exceptionnel ( E ) Botanique : Acceptable ( A ) Défense contre les Forces du Mal : Optimal ( O ) Histoire de la magie : Optimal ( O ) Métamorphose : Optimal ( O ) Potions : Optimal ( O ) Soins aux créatures magiques : Acceptable ( A ) Sortilèges : Optimal ( O ) » Je restai immobile, n’y croyant pas. Ils ont dû se tromper, me confondre avec quelqu’un d’autre… Neuf BUSE sur neuf. Six Optimal. Mais quel genre de génie étais-je ? Je tournai un regard gêné et interrogateur à ma mère, qui avait les yeux humides. « Oh, mon chéri, je suis si contente !» réussit-elle à articuler durant deux sanglots joyeux. Mon père, quant à lui, se leva précipitamment et m’arracha la lettre des mains. Je me levai doucement, ne sachant pas très bien comment réagir. Je ne l’avais jamais vu dans un tel état. Il était comme ivre. De bonheur. « Mon fils… Je suis tellement fier de toi. » me souffla-t-il avant de m’enlacer. Je compris enfin l’étendue du bonheur qui entourait à ce moment précis le petit foyer que nous formions, et ma poitrine se gonfla. J’étais heureux, heureux de ne pas avoir déçu mes parents, heureux de savoir que mon avenir semblait très prometteur. J’éclatai de rire et celui, cristallin, de ma mère, se joignit au mien. Soudain, elle redevint sérieuse et ses pupilles se rétractèrent, comme un serpent. « Ethan, cet après-midi nous allons sur le Chemin de Traverse ensemble chercher tes fournitures. Je t’offrirai une glace à la violette de chez le vieux Florian Fortarôme. », m’annonça-t-elle d’un ton solennel qui ne cadrait pas très bien à la situation ; je compris néanmoins que j’avais gagné les faveurs de madame et qu’elle comptait m’offrir un cadeau bien plus conséquent. « Cool », dis-je sur un ton détaché en hochant la tête, ne sachant pas trop quoi répondre. « Je vais me changer, alors » ajoutai-je en reprenant contenance et pris congé. Une fois dans ma chambre, je ne sus plus quoi faire. Je ne savais plus comment exulter de joie, alors que j’avais imaginé ce moment des centaines de fois au cours de ces vacances. Planté en plein milieu de ma chambre spacieuse, je me décidai à écrire à mon ami, Nathanael. Elève habituellement moyen, je m’inquiétais pour lui. Au moment où je sortis une feuille de vélin de mon bureau, une petite chouette gratta à ma fenêtre puis rentra dans la pièce. Je l’attrapai et lus la lettre, écrite de la main maladroite de Nathanael, d’un œil sceptique : très courte, elle ne comportait que quelques phrases, alors que d’ordinaire, mon ami se montrait plutôt bavard. « Eth’, pardonne-moi. J’ai eu Troll en Potions. C’est mort pour nos vacances en Irlande. Nath’ » Je laissai échapper un juron. Je me réjouissais tellement pour ce voyage, et voilà qu’il me faisait faux bond ! Bien que cet inattendu m’ait quelque peu terni ma journée, je décidai de me laver pour être présentable, une fois sur le Chemin de Traverse. Nous partirions après manger, ce qui me laissait encore trois heures. Je me fis couler un bain bien moussant puis me relaxant, je ruminai mes pensées, mon anxiété de ces dernières semaines quant à l’obtention de mes BUSE. J’avais décidément bien du mal à croire que tout cela était terminé en beauté, et que l’année prochaine ne serait qu’une formalité dans l’obtention de mes ASPIC. Adossé à mon lit, assis par terre, je revins à moi et sentis une larme couler sur mes joues pâles. Je n’avais jamais revu Nathanael ; un Mangemort l’a assassiné peu de temps avant la rentrée de notre sixième année. C’est mon père qui me l’avait annoncé, et malgré ses efforts pour se contenir, je me souviendrai toujours du regard déchiré qu’il m’avait adressé. J’ai obtenu mes ASPIC à peu près aussi brillamment que mes BUSE deux ans auparavant, et trouvai facilement, grâce au nom de mon père, un emploi au Ministère, où je travaillais toujours, dix ans plus tard. Avec le retour officiel de l’Empereur et la guerre ouverte entre ses partisans et les FSI, ma mère s’infligeait quotidiennement un sort de métamorphose pour que ses pupilles passent inaperçues : elle n’était pas connue et l’on se rappelle le sort funeste de Mangemorts, même hiérarchiquement bien placés, lors de la Deuxième Guerre des Sorciers, entre 1994 et 1998. De plus, beaucoup étaient au courant de son ascendance maudite. Bien que cela eût été pratique, je ne pouvais malheureusement rien faire pour les miennes ; tout le monde au Ministère connaissait ma particularité et le fait que je les cache subitement aurait pu receler une menace pour bon nombre de mes collègues. Je me passai la main dans mes cheveux, aujourd’hui encore un peu trop longs pour moi et songeai que la vie n’avait pas toujours été aussi morne et routinière que maintenant. Il fut en effet un temps où je profitais de tout ce que la vie pouvait m’offrir, et me demandai si je ne pouvais de nouveau pas recommencer. J’étais si las, à même pas trente ans. Je transplanai devant la porte de ma vraie maison, de mon foyer, et le sourire émerveillé de ma mère vint m’ouvrir. C’est vrai, pourquoi ne pouvais-je plus être heureux, simplement et naïvement, comme autrefois ? ♣ Toi, sans caractéristiques magiques ♣ • Prénom ou pseudo : An’ An’ • Âge : 17 balais, avec toutes les rides, tout ça tout ça… • Comment as-tu connu le forum? Alors… Je commence un peu à m’ennuyer sur mon forum RPG (Harry Potter de même, mais inutile de le préciser, hm ? ♥), alors je cherchais tranquillement un fofo’ l’autre jour, quand je suis tombée sur Requiem for a Prophecy. Et là… *TIN DIN TIN DIN TIN DIN *J’ai juste trop accroché au forum xD Le design (bien qu’un peu trop foncé pour mes pauvres yeux tout cassés) est pas mal, et j’aime bien la p’tite bannière interactive là (merci à mon scumbag de cerveau qui oublie un mot sur cinq xD). Je pensais donc à sérieusement m’inscrire quand je suis allée dans eeeeel contexto ! et que j’y ai vu un petit mot de quatre lettres apparaître, comme ça, là où je ne m’y attendais pas : « Nooooon ! Ils ont mis Loki dans leur intrigue ! Bon bah, je m’inscris xD » • As-tu des doubles comptes ? : Nope • Veux-tu être parrainé(e)? : Je crois pas… • Un petit mot ? : J’ai déjà assez embêté tout le monde comme ça, alors je vais essayer de pas trop faire n’importe quoi >.> mais pitié, arrangez ces codes xD © Requiem for a prophecy

Bienvenue sur le forum

Bienvenue, bienvenue, bienvenue ! Han j'aime quand je vois des p'tits nouveaux inscrits sur notre beau forum. J'adore Ethan comme prénom, bon ok je suis pas objective, c'est le nom de mon petit frère mais quand même j'adore. Et puis c'est cool que tu ais fait un adultes comme personnage, on en manque dés fois ;p
Alors je te donnes quelques liens qui te seront très utiles une fois que tu seras validé. Quand on est nouveau, c’est assez dur de commencer mais nous serons là pour t’aider.
Tu peux contacter la Dream Team lorsque tu as un problème. La Chat Box est assez attractive et il y a souvent des personnes dessus. Alors n’hésites pas à y aller, c’est le meilleur moyen de s’intégrer.

Voilà quelques liens qui pourront t’aider.

♣ Si tu es intéressé par un don pour ton personnage. Afin de vérifier si tu pourras t’en sortir avec, il faut que tu fasses un rp Ici . Quand la Dream Team aura validé ton rp, tu pourras officiellement commencer à utiliser ce don dans tes rp.

♣ Quand tu sera réparti et validé tu pourras créer ta fiche et demander des liens avec les autres membres dans cette Partie, c’est le premier pas vers l’intégration et les rp.

♣ Si tu débutes en rp, voilà un Topic qui te permettra d'être parrainé. Ce n'est évidemment pas obligatoire si tu as un bon niveau ;p En général, c’est la Dream Team qui choisit si tu as besoin d’un parrain en fonction de ton niveau de rp. C’est pour cela qu’il a un test rp dans la présentation.

♣ Ensuite, si tu veux trouver des camarades rpgiques, n’hésites pas à aller faire une proposition dans Meetic ! En général tu auras vite une réponse.

♣ Pour que nous puissons nous retrouver, il faudra que tu ailles référencer ton avatar Ici et ton patronus Ici


Voilà, maintenant tu as toutes les informations pour pouvoir bien commencer sur le forum. En tout cas, bienvenue encore et n’oublie pas de t’amuser ! Et puis n’hésites pas si tu as un problème. Bonne chance pour ta fiche.