Dr. Jonathan Eric Crane

I try hard to smile because I know that my ambition exceeded by far my talents. ♣ Carte d'identité ♣ • Nom/Prénom : Dr. Jonathan Crane • Âge : 36 ans • Descendance (sang pur, mêlé ou moldu) : Né-Moldu • Patronus : Jamais réalisé • Baguette magique : Confisquée et détruite • Orientation sexuelle : Aucune • Projet(s) professionnel(s) / Métier : Psychologue/Psychiatre/Enseignant-chercheur à l'Université. • Qualité(s) : Perfectionniste, brillant, ambitieux, charismatique. • Défaut(s) : Instable, méprisant, insensible, • Manie(s) : • Don(s) : Aucun • Avatar : Cillian Murphy • [] Post prédéfini. [] Scénario. [X] Inventé. ♣ Vos papiers s'il vous plaît ♣ Caractère : Cheveux foncés, yeux clairs, Crane est déjà une contradiction physique. Ses élèves moldus le caractérisent comme un professeur intelligent et charismatique, mais il n'a pas toujours été cet homme-là... Il n'a pas perdu son accent irlandais, même s'il n'y est pas retourné depuis son adolescence, ni ses costumes trois pièces qui témoignent de sa volonté d'être constamment reconnu. Jonathan Crane est singulier : yeux et des lèvres proéminents, paupières lourdes où s'ancrent des yeux délavés qui pourraient fasciner n'importe qui, taille légèrement en-dessous de la moyenne... Il ne laisse personne indifférent mais ne semble pourtant pas s'en soucier. Quelque part, même s'il ne l'avouera jamais, il a le vrai physique d'un sorcier, cape, chapeau et baguette en moins. Physique : Crane est dans le déni de sa véritable nature depuis l'enfance. On pourrait facilement le rapprocher à un psychopathe en puissance, mais les gens préfèrent se taire à son sujet. C'est un homme très solitaire qui n'a jamais aimé autre chose dans sa vie qu'étudier ce qu'il ne comprenait pas : l'être humain. Il est psychologue de formation, ce qui est encore une fois contradictoire. Ses ambitions sont très facilement servies par sa brillance intellectuelle, ses subterfuges l'ayant souvent tiré d'affaire face aux autorités moldues ou sorcières. Par ailleurs, sa haine infondée pour la communauté sorcière, celle à laquelle il aurait du appartenir, l'a souvent poussé à commettre des actes qui vont au-delà de la raison et de toute moralité, sans que quiconque ne soit au courant. On peut dire qu'il cache bien son jeu. Crane accorde difficilement sa confiance, puisque c'est ce qui lui a coûté une condamnation – presque – injuste, dans la prison d'Azkaban. Histoire : Né à Douglas, dans le Comté de Cork en Irlande, Jonathan Crane n'a – presque - jamais présenté de troubles psychologiques ou autre déficience. Sa sœur cadette, Malow Crane (mal au crâne, haha) a réalisé une biographie dans laquelle elle relate les souvenirs les plus marquants de son frère. « C'était un génie. Et comme tous les génies, il était incompris, où alors il ne voyait pas que certaines personnes voulaient l'aider. Je lui vouais un culte, et lorsqu'il a quitté la maison j'ai immédiatement senti qu'il ne reviendrait jamais... Après tout rien ne le rattachait à notre petit village, moi-même je me suis exilée. Je sais qu'il mérite sa renommée, après tout ce qu'il a enduré, et cela me suffit. » Et la mère continue : « Jon n'a, je crois, jamais eu de petites-amies, c'était un enfant différent. On a découvert qu'il était sorcier lors d'un match de baseball organisé par l'école. Il n'aimait pas le sport, et particulièrement celui-ci, mais on l'avait obligé pour qu'il se fasse des copains dans l'équipe... Mais voilà, lorsque ce fut son tour de frapper dans la balle, il ne loupa pas le tireur. Traumatisme crânien. » Nous notons cette magnifique boutade. Des liens familiaux peu marqués, d'après les paroles de son père, un ophtalmologiste retraité (nous pensions qu'il étudiait la vie des ornithorynques, en réalité c'est un métier moldu lié aux yeux, vous en saurez plus dans notre prochain numéro !). « Mon fils a toujours fait notre fierté, j'ai pu moi-même faire deux années de psychologie, et j'ai vite abandonné. Pourtant il s'en fichait. Littéralement. Il avait fini par se refermer sur lui-même et ne nous prenait plus en considération. Il ne m'a jamais donné l'occasion d'être un vrai père pour lui, il nous rejetait, il rejetait sa petite sœur... Je crois qu'il nous en voulait de l'avoir forcé à étudier dans cette école de sorciers là, Pouding ? Ouais, Poudlard, c'est à peine si il y a mis les pieds. C'est fou quand même, moi j'aurais adoré étudier la magie. » Ce n'est pas donné à tout le monde, on le concède... Et à cette époque Severus Rogue officiait encore, on comprend mieux. Récapitulons : Crane était un garçon inexpressif, peu tourné vers la famille et brillant. Il n'a pourtant pas fait long feu à Poudlard, pour quelle raison ? Nous posons la question à son collègue. « Jonathan a toujours été secret sur son passé, je ne saurais vous éclairer sur ce sujet. Mais je peux vous mettre sur la voie : il se déteste, et déteste donc la magie. » Bien plus qu'une simple voie, le docteur Misfits nous a donné l'allée des conclusions hâtives : à l'inverse de l'opinion Mangemort, Crane défendrait l'idéologie moldue et rejetterait les sorciers par pur dégoût, il faut dire qu'il avait passé un sale moment dans les geôles d'Azkaban... Nous espérons vous avoir éclairé sur ce cas complexe et attendons impatiemment vôtre contribution, chers lecteurs... Peut-être qu'avec cette affaire nous allons révéler le psychopathe le plus terrifiant que le monde magique ait connu – après Lord Voldemort et le type au masque flippant. ♣ Test RPG ♣ - Moi c'est Percy, Percy Weasley. Sorcier de pure souche ! - Appelle-moi John. Tandis que les élèves qui faisaient leur première entrée à Poudlard attendaient dans un grand Hall, un brouhaha tonitruait derrière la grande porte.  - Je pense être à Gryffondor... Ou à Serdaigle. Quoiqu'il en soit je travaillerais sans relâche, même si j'atterris à Poufsouffle. Crane ne comprenait décidément rien à ce que ce garçon roux lui racontait, et cela depuis le voyage dans Poudlard Express. Percy débitait tous ses projets d'avenir et ne se rendait pas compte que le jeune homme qu'il avait en face de lui n'avait vraiment pas envie de discuter avec lui. La seule chose qu'il voulait à vrai dire, c'était partir de ce monde de fou et rentrer chez lui, près de ses livres de Sciences, il n'y a que là qu'il se sentait heureux. D'ailleurs, il ne voyait pas en quoi un cours sur les Trolls ou sur les manières d'agiter un bout en bois pouvaient l'aider à devenir Chirurgien. Le binoclard jeta un coup d'œil désespéré à ses camarades, mais pas un ne semblait être de son avis. Tous regardaient avidement les tableaux qui bougeaient, les fantômes qui blaguaient et les bougies qui flottaient dans les airs. - Suivez moi, en silence, deux par deux ! C'en était trop... Voilà qu'il se trouvait à marcher le long d'une allée, située entre deux tables remplies d'élèves aux allures carnassières et aux dents aiguisées.  Le professeur McGonagall tenait un parchemin dans les mains, Crane... Premier de liste, au moins une chose qui n'avait pas changée. - Crane, Jonathan ! Veuillez vous asseoir sur le tabouret. Tout se passa rapidement et spontanément... Percy lui tapota l'épaule, se fut l'élément qui déclencha un hochement frénétique de la tête au garçon, qui déclencha à son tour un haussement de sourcil de la part de la professeur de Métamorphose et qui déclencha finalement un retour maladroit dans le Hall. Le garçonnet arriva à la hauteur de sa valise, s'assit dessus et mit sa tête entre ses deux mains. Comment avait-il pu se faire avoir de cette façon ? Il détestait tous ces gens, tous les endroits qu'il avait pu traverser, uniquement parce que ça l'éloignait de son rêve. Pourquoi n'appréciait-il pas la Magie ? C'était un sorcier pourtant... La raison est très simple : Parce qu'il ne trouvait aucune explication rationnelle à ce phénomène.  Crane ne pleurait pas, ça lui arrivait peu souvent, mais il avait une étrange courbe entre les sourcils qui signifiait « Je réfléchis, mais je ne sais pas à quoi... ».  Il fut rejoint par la codirectrice, la répartition devait être terminée. - Monsieur Crane, suivez-moi dans mon bureau, déclara-t-elle de son air hautain. Elle avait l'air vexé. - C'est inutile, Madame. Je veux rentrer chez moi. - Mais on ne vous demande pas votre avis. Vous êtes scolarisé à Poudlard mon cher ami, vous devez terminer votre année. Cette fois-ci elle avait l'air tourmentée et peu sûre d'elle. Jonathan se mit à pleurer, à renifler fort, puis laissa tomber sa tête contre ses genoux, ses deux petites mains sur ses yeux. - Voyons, il ne faut pas pleurer ! Vous reverrez vos parents pendant les vacances et ils vous écriront sûrement... Vous vous ferez vite des amis dans votre Maison. Séchez donc vos larmes et suivez-moi, déclara le professeur avec une voix calme et autoritaire. - JE VEUX RENTRER ! S'égosilla le petit garçon en gémissant plus fort. Sous les yeux impuissants du Professeur McGonagall, Jonathan Crane fut ramené par voie aérienne chez lui, après que les parents de ce dernier furent contactés d'urgence par cheminée... Ginevra se souviendra longtemps de ce petit garçon, le seul de toute sa carrière, qui refusa d'appartenir au monde enchanté de Poudlard. ♣ Toi, sans caractéristiques magiques ♣ • Prénom ou pseudo : Tony • Âge : 22 • Comment as -tu connu le forum? (partenaires, tops-sites, etc ...) : en cherchant un peu sur Google • As-tu des doubles comptes ? : • Veux-tu être parrainé(e)? : • Un petit mot ? : © Requiem for a prophecy