Chapitre 1 : Un nouveau départ,
ou être méchant sa n’a pas que des avantages.


Les Parkinson avait 2 filles Pansy et Sara leur fierté ! Belles, intelligentes, elles étaient parfaites. Elles menaient une vie fantastique jusqu'à leur 11éme anniversaire…. Alors quelle soufflait les bougies on défonça la porte. Les *Aurors :
«- Que personne ne bouge où on vous tue ! »
Carla, la mère des filles leur demande d’aller se cacher :
«- Et ne bougeait pas ! » ajouta t’elle
Puis elle tua le premier auror, les filles furent attrapées avant de refermer la porte du placard dans lequel elles s’étaient cachées.
« -Lâchez-nous ! Lâchez-nous ! » Hurla Pansy
Aucun effet, elles eurent juste le temps de voir leur mère se faire emmener et le corps de leur père parterre. Sara pleura. C’est tout se dont elle se souvenait. Après rien, le vide, le noir, bref le trou de mémoire.
Elles se réveillèrent le lendemain avec un sérieux mal de crâne. Pansy ouvrit les yeux et tellement étonné par ce qu’elle vit, elle ouvrit la bouche aussi. Et les oreilles par la même occasion. Car des pas se rapprochaient, et une jolie jeune femme blonde entrait :
« -Bonjour ! Moi je suis Taylor Jane. »
Pan’ referma la bouche.
« -C’est une infirmerie ? Un orphelinat ? Un dortoir ? Enfin c’est quoi ? Pourquoi sommes-nous-la ? Qui nous a emmenées ici ? Et où sont nos parents ??! » Demanda Sara.
« - Alors, c’est un orphelinat, je ne sais pas, des hommes vous ont amené ici évanouie, ils sont morts. » Répondit Taylor
Hop re-bouche grand ouverte, re-bouche refermait.
« -Ils sont morts ? Répéta Pansy, se n’est pas possible ! Et puis vous êtes une *moldue non ?
-Moldue ? Qu’est-ce que c’est ?
-… ! Articula Pan’ »
D’après la grimace de Sara ce n’était pas un joli mot. Taylor partit. Sara se rapprocha de sa sœur, tellement vite qu’elle se cogna contre un lit :
« -Aie ! Nom d’une chouette ! Peuvent pas faire un peu gaffe c’est lit ????
-Non on n’a pas encore trouvé quelque chose pour qu’ils évitent les gens ! Rigola Pansy
-Hin hin très drôle. Bon on fait quoi ? Franchement la je sais pas ! On s’enfuit ? On reste ?
- Ben… Mettons, on s’enfuit ! J’ne vais pas passer ma vie dans ce truc de moldus !
-Clair ! Mais quand ? Comment ?
-Ce soir, on avisera
-Heu et si on rate notre fuite ?
- On est mal
- Vu comme sa, il vaut mieux réussir
-Ouais »
Elles eurent tout le temps d’explorer l’orphelinat, il était grand, très grand, très très grand, en bref immense. Le genre de truc ou t’es sur de te perdre la première fois. Le rez-de-chaussée servait de hall/salon/salle à manger… en faite il servait a tout. Au 1er étage il y avait les chambres. Des dortoirs plutôt. Avec des lits blancs, pas confortables et franchement sales. Pas la grande classe quoi. Toute la journée elles durent travailler, avec des moldus ! Pansy, n’y croyant pas, essayait de se réveiller environ toute les 5 secondes. Sara, elle, se retenait de rire devant le total abasourdissement de sa sœur. Vers 7h elles dînèrent du pudding à la crème avec des trucs non identifiés. Enfin à 8h elles se retrouvèrent seules dans leurs lits :
« - La journée la plus longue de mon existence ! Se plaignit Pansy
-Ouais, mais sûrement pas la dernière
-Ne parle pas de malheur !
-Bon on fait quoi alors ?
-On s’enfuit par la porte qui est tout au fond du couloir, elle mène à un escalier de secours, qui mène direct dans la rue !
-Tes sure ?
-Non
-Ah Ok… QUOI ?!
-Ben oui si sa se trouve, il y a des Aurors ou je sais pas quoi qui sont en bas !
-Pan’, tu sais quoi ?
- Non ?
-Tais-toi ! Concentrons-nous sur des choses positives !
-Bon on y va. »
Lentement, elles sortirent de leurs chambres sans faire de bruit. En rasant les murs, elles étaient silencieuses. Le couloir était vide et calme. Elles arrivèrent vers l’escalier de secours. Les marches grinçaient, bien sur. En essayant de faire le moins de bruit possible, Sara trébucha et tomba. Un bruit assourdissant retentit. Un seul mot vint à son esprit, un mot pas très joli mais elle n’avait rien de mieux :
« - Merde ! »
Elles se mirent à courir. A se moment elles bâtirent surement le record olympique de 100 mètres. Enfin, elles arrivèrent à l’orée de la forêt, épuisées, en sueur, mais contente. Elles marchèrent encore un peu jusqu'à trouver une clairière. Elles s’allongèrent et s’endormirent.